Par écrit, par fax ou par mail, indiquez le numéro de devis, ajoutez votre signature ainsi que la mention « Bon pour accord ».
La décision vous appartient, cependant il est d’usage d’associer une certaine idée de qualité à un grammage fort, du fait de la rigidité du papier. Ainsi, si vous souhaitez transmettre une image qualitative (flyer de soirée, plaquette d’entreprise, etc…) privilégiez les grammages forts (250g et plus). A l’inverse, s’il s’agit d’un support publicitaire classique diffusé à large tirage (publipostage, dépliants touristiques, etc…) les grammages plus légers sont recommandés, pour des raisons d’économie et de faible poids des envois.
Ici aussi c’est une histoire de goût… Mais traditionnellement le mat est considéré, à l’instar du brillant, comme un papier moins « publicitaire », et convient donc à des rendus plus distingués. De plus, en cas d’aplats de couleur foncée, le papier mat laisse moins les traces de doigts que le brillant. En revanche, si votre document comporte beaucoup de photographies, un rendu brillant mettra vos visuels en valeur avec un rendu de couleurs plus vif.
Le débord, aussi appelé fond perdu, est l’assurance d’un rendu de découpe propre de votre document. En effet, cet « excès de fond » sur tout le périmètre permet, au moment de la découpe finale de votre document, de couper dans de la matière imprimée. Ainsi, en cas de léger décalage du massicot (outil de découpe), pas de risque de voir apparaître un liseré blanc sur l’une des faces du document. Nous demandons un minimum de 5 mm de débord sur tous les documents, et ce sur tout le périmètre. De plus nous vous conseillons de positionner les textes à au moins 5 mm du bord afin d’éviter que ceux-ci « collent » au bord du papier après le façonnage par les massicots.
Ces logiciels (Word, Excel, Powerpoint, Pagemaker, Publisher, Paint…) sont, comme leur nom l’indique, des logiciels grand public, adaptés à une utilisation personnelle. Ces logiciels présentent pour la plupart des incohérences avec les prérogatives de l’impression Offset (impression professionnelle). Ainsi, vous risquez des problèmes d’impression, de rendu des couleurs…
Si vous n’êtes pas équipés avec les logiciels professionnels (Photoshop, Illustrator, Indesign, Quark,…), vous pouvez nous confier la mise en page de vos documents, vous garantissant ainsi une impression optimale et la valeur ajoutée d’un visuel créé par un graphiste professionnel. N’hésitez pas à nous consulter par mail
Nous travaillons exclusivement à partir de fichiers « directement exploitables », c’est-à-dire qui ne nécessitent pas d’intervention de notre part pour envoi en impression. Les quatre formats de fichiers acceptés sont : pdf, jpg, tiff, ou eps. Dans le cas d’un fichier pdf ou eps, veillez à vectoriser vos textes. Le tout au format CMJN, images en 300dpi, avec 5mm de débord et 1 fichier par page (face).
Ces abréviations correspondent au format colorimétrique d’un document. Le RVB, ou RGB en anglais (rouge / vert / bleu) correspond à un affichage écran, qui produit les couleurs par le mélange de lumière. A l’inverse, le mode CMJN ou CMJK en anglais ( cyan / magenta / jaune / noir ) est le mode utilisé pour l’impression, avec le mélange des 4 encres permettant de réaliser l’intégralité des couleurs imprimables (hors couleurs Pantones® : fluos, or, argent,…). Le passage du mode RVB au mode CMJN peut réserver des surprises, aussi nous vous conseillons de toujours travailler les fichiers destinés à l’impression en mode CMJN. De plus, méfiez-vous des couleurs qui apparaissent à l’écran, car elles ne sont pas fidèles aux rendus d’impression.
En imprimerie offset traditionnelle les coûts de fabrication sont décomposés en 2 parties : – les coûts fixes : composition, films + plaques ou bien plaques directes, calage, mise en encre et nettoyage de la presse. – les coûts variables : papier, durée du roulage machine. pour un faible tirage d’un petit format le prix unitaire des imprimés est fortement pénalisé par les coûts fixes, qui ne peuvent pas être « amortis » sur une grande surface ou quantité d’imprimés. Dans ce cas l’amalgame permet de « mutualiser » ces coûts fixes entre plusieurs clients. Pour cela il faut que tous les clients utilisent le même papier, les mêmes couleurs d’impression, les mêmes quantités ou des multiples, les mêmes options de finition, et bien entendu que le format soit assez petit pour regrouper plusieurs clients sur un même tirage. (Les enveloppes ne sont jamais tirées en amalgame mais font l’objet d’un calage à part). Nous avons donc standardisé un certain nombre de produits imprimés que nous vous proposons à des prix très bas.
La résolution est liée à la qualité de vos images. Elle se calcule en pixels (points) par pouce (dpi). Une résolution optimale pour un rendu qualitatif ne doit pas être inférieure à 300dpi.